Ce soir, après une journée agréable mais épuisante, avec retour à 18h45, toujours boitillante, je trouve tout de même la force d'éplucher un gros morceau de potiron, de le débiter en petits morceaux, de le faire cuire, de le mixer avec de l'huile de noisette et de la ciboulette pour faire une soupe, tout en en réservant une part que j'ai écrasée à la fourchette pour les Things. Repas léger et réhydratant : nous en avions tous besoin.
Après avoir nourri les plus jeunes, changé les couches, mis les pyjamas, donné à boire cinq ou six fois, vaguement rangé la chambre dans l'hypothèse d'un appel nocturne (rien de plus douloureux que marcher sur un légo dans le noir), Darling et moi allons les coucher. Juste avant, nous ordonnons au Grand de mettre la table.
J'étais encore penchée sur Miss Thing One quand j'ai entendu un grand "patatras !" venant de la cuisine.
Bilan : vingt-cinq minutes pour éponger la soupe de potiron qui s'était immiscée jusque sous les brûleurs à gaz, dans les rainures du lave-vaisselle, et sous la plinthe du meuble.
On a mangé une soupe Picard. Pas mauvaise, d'ailleurs.
Mais la soupe a débordé toute seule? La casserole s'est carapatée? La citrouille était explosive?
RépondreSupprimerDisons pudiquement que le Grand a voulu remuer la soupe, et...
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