— Ouin !
— ...
— ...
— Ouin !
— ...
— ...
— Ouin, ouin !
— Mmm... Quelle heure il est ?
— Trois heures et demie du matin...
— ...
— ...
— Ouin, ouin, ouin !
— C'est lui ?
— Non, c'est elle.
— Ouiiiiiinnnnnn !
— T'y vas ?
— Ah non, on avait dit que quand c'était elle, tu y allais, toi... Moi j'y vais quand c'est lui, sinon il râle.
— OUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNN !
— Je suis fatigué...
— Moi aussi ! J'ai bossé jusqu'à minuit !
— OOOOOUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNN !!!!!!
— J'ai pas le courage...
— Bon, tu te dépêche avant qu'elle réveille son frère ?
— OOOOOOOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNN !!!!!!!!!!!!!!
— D'accord, j'y vais, j'y vais... Mais la prochaine fois, c'est toi !
Mais si, je les aime, mes enfants. Juste un peu moins à trois heures et demie du matin, c'est tout.
Et bien, je suis plus indigne que toi : pour avoir des nuits calmes, je les laissais pleurer trois ou quatre heures de suite, deux nuits de suite. Ensuite, nuits tranquilles pour tout le monde et pour toujours !
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