Une série de quatre volumes qui devait continuer, et qui s'interrompt brusquement.
Un éditeur qui démissionne, remplacé par quelqu'un qu'on ne connaît pas encore.
Une boîte rachetée par une autre, en pleine restructuration.
Un nouvel opus d'une bonne auteure, très attendu, mais qui s'avère mauvais.
C'est chouette, d'être travailleur indépendant. Mais là, je me croyais en congé maternité, et je découvre que je suis quasiment au chômage.
(Bah, pas grave. Si nécessaire, je peux me reconvertir en chanteuse de berceuses juke-box, en boulangère-pâtissière expérimentale, en nourrice au lait ultra-riche, en portefaix, en éleveuse de poux...)
C'est vrai que ça doit être insécurisant, d'avoir tantôt trop de propositions et qu'on doive refuser du travail, tantôt des contrats incertains.
RépondreSupprimerConcernant la quatrième évocation, si c'est une bonne auteure attendue, son livre est-il si impubliable?
Ben, le problème de publier un mauvais bouquin d'une bonne auteure, c'est que les gens hésiteront avant d'acheter le suivant, même s'il est formidable. Donc même si c'est un peu un crève-coeur, je pense que l'éditrice a pris la bonne décision en le refusant.
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