477 pages dans la version originale.
3 mois de boulot, environ 65 jours ouvrables, desquels il faut déduire plusieurs jours d'enfants malades et quelques déplacements, mais auxquels il faut ajouter jusque 7 soirées par semaine.
14 chapitres, divisés en 2 parties, et 1 épilogue.
11 romans traduits en français par mes soins de la plume de cet auteur prolifique.
2 héros qui vivent une histoire d'amour "sans frontière", et 4 ou 5 autres personnages importants.
230 occurrences environ (une fois toutes les deux pages en moyenne) des expressions "Elle/Il prit une profonde inspiration", "Elle/Il le/la regarda", "Elle/il acquiesça", "Elle/il sentit son coeur se serrer", "Elle/il retint un cri/un frisson/des larmes", et d'autres clichés semblables, avec une mission délicate : en supprimer autant que possible sans raccourcir exagérément le roman.
576.065 signes en français, espaces compris.
1 éditeur, 1 assistant, 2 correcteurs qui vont prendre le relais de la traductrice.
24 mots que je n'ai pas trouvés dans mon dictionnaire, et donc autant de recherches à faire sur Internet.
4 blasons décrits, alors que je ne m'y connais pas du tout en langage héraldique.
3 lettres pour 1 seul mot, que je viens de taper au bas de mon texte : FIN.
Bon sang, que ça fait du bien !
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