Je raconte à Darling que, hier, j'ai bien fait rire mon amie en sautant de joie quand son mari nous a proposé d'aller faire le plein avant leur départ ("Youpie, on va à la station-service, on sort de la maison, je lâche mes mômes pendant dix minutes, c'est la fête !").
— Mais bon, poursuis-je en essayant de rester positive, au moins, je suis à jour sur mon planning de traduction.
— Ah, tant mieux, c'est le plus important.
— Hein ? Comment ça, le plus important ? A tes yeux, le plus important, c'est que je bosse autant que possible ?
Il comprend qu'il a fait une gaffe, et se corrige précipitamment :
— Non, non, bien sûr, le plus important c'est que les enfants s'amusent bien et passent de bonnes vacances...
(C'est à cet instant précis que j'ai décidé d'aller passer un weekend à Londres ou ailleurs – sans enfants et sans Darling – cet automne.)
Et si tu le laissais passer ses vacances seul avec les mômes...juste pour voir ....
RépondreSupprimer...je suis sûre dans ce cas que les enfants s'amuseraient bien et qu'ils passeraient de bonnes vacances...
RépondreSupprimerJe vote pour 15 jours de vacances père-enfants ! C'est vrai, quoi, l'essentiel c'est qu'ils s'amusent bien !
RépondreSupprimerEt toi tu pars à Londres, ou ailleurs ! Seule !
Au fait, je lis un polar d'un auteur que j'aime beaucoup sauf que la traduction (anglais-français) est terrifiante. On peut écrire à l'éditeur pour le signaler ? Parce que franchement "il lui faisait dos", un "trou de cul" et autres bizarreries, ça me lasse !
Il FAUT le signaler à l'éditeur ! Soit c'est un mauvais traducteur, quelqu'un qui ne devrait pas exercer ce métier (et peut-être qui ne l'exerce pas, beaucoup de gens croient qu'il suffit de comprendre l'anglais pour traduire un truc de temps en temps), soit c'est une accumulation de fautes de frappe, auquel cas cela veut dire que l'éditeur n'a pas pris la peine de prendre un vrai correcteur (ça aussi, c'est un métier)... Dans les deux cas, c'est se moquer à la fois des professionnels et des clients !
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