vendredi 27 novembre 2015

Quand l'appétit va, tout va (et inversement)

Retour de l'école. Goûter. Un gâteau avec des pépites de chocolat. J'en tends un au Filou, mais il secoue la tête :
— Z'ai kro fakigué pou manzer.
— Pardon ? Tu ne veux pas de gâteau ?
— Non.
Je me précipite dans la salle de bain et je reviens avec le thermomètre. Cela dit, j'ai à peine besoin qu'il me confirme mon diagnostic. Un Filou qui refuse son goûter, c'est un Filou très mal en point. Bingo, il a de la fièvre.
Un peu plus tard, il grignote une demi-pomme, mais refuse le dîner, dessert compris. Quand je le couche, il brûle un peu moins, grâce au Doliprane, mais je sais déjà que ça va remonter dans la nuit.
— Poussin, si tu es malade cette nuit, si tu ne vas pas bien, tu m'appelles pour que je te redonne du médicament, d'accord ?
— D'accord.
Je couche les deux autres, puis je redescends, et j'arrive à peine en bas de l'escalier que je l'entends qui crie :
— Maman !
Je remonte.
— Qu'est-ce qu'il y a, mon Filou ?
— Z'ai malade, maman.

2 commentaires:

  1. Pauvre petit Filou ! Qu'il se soigne bien...
    Un joyeux week-end en perspective

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  2. Je suppose qu'il s'agit d'une maladie où on donne un doliprane à l'enfant.
    Un doliprane et une cuvette.

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