Retour de l'école. Goûter. Un gâteau avec des pépites de chocolat. J'en tends un au Filou, mais il secoue la tête :
— Z'ai kro fakigué pou manzer.
— Pardon ? Tu ne veux pas de gâteau ?
— Non.
Je me précipite dans la salle de bain et je reviens avec le thermomètre. Cela dit, j'ai à peine besoin qu'il me confirme mon diagnostic. Un Filou qui refuse son goûter, c'est un Filou très mal en point. Bingo, il a de la fièvre.
Un peu plus tard, il grignote une demi-pomme, mais refuse le dîner, dessert compris. Quand je le couche, il brûle un peu moins, grâce au Doliprane, mais je sais déjà que ça va remonter dans la nuit.
— Poussin, si tu es malade cette nuit, si tu ne vas pas bien, tu m'appelles pour que je te redonne du médicament, d'accord ?
— D'accord.
Je couche les deux autres, puis je redescends, et j'arrive à peine en bas de l'escalier que je l'entends qui crie :
— Maman !
Je remonte.
— Qu'est-ce qu'il y a, mon Filou ?
— Z'ai malade, maman.
Pauvre petit Filou ! Qu'il se soigne bien...
RépondreSupprimerUn joyeux week-end en perspective
Je suppose qu'il s'agit d'une maladie où on donne un doliprane à l'enfant.
RépondreSupprimerUn doliprane et une cuvette.