Il m'en restera quelques noms, quelques images, quelques informations, quelques impressions. Ces témoignages sur les agissements atroces des Japonais quand la Chine a été envahie. Cet immense cimetière américain dont les croix – ou étoiles – s'étendent à perte de vue. Cette carte touristique où presque les trois quarts des villes et villages sont labellisés "haut lieu de la Bataille de Normandie". Ces images d'archives présentées simultanément sur deux moitiés d'écran, d'un côté les Alliés qui se préparent à mourir en attaquant, de l'autre les Allemands qui se préparent à mourir en défendant leurs positions. Ce bunker sordide. Ce terrain ponctué de trous d'obus. Les restes d'un port artificiel bâti en toute hâte pour ravitailler les troupes. Et surtout ces plages, si paisibles aujourd'hui, ces plages où, hormis quelques drapeaux, parfois quelques monuments, rien ne permet de deviner qu'autrefois, des milliers d'hommes se sont entretués là au petit matin...
La vie d'une traductrice, mère célibataire de famille nombreuse
jeudi 23 juin 2016
Les plages du Débarquement
Deux jours sur le thème de la Seconde Guerre mondiale. Une journée entière au Mémorial de Caen, puis une journée sur les routes pour aller visiter l'une après l'autre les plages où ont eu lieu le Débarquement – et une relecture d'Un sac de billes entre les deux, pour faire bonne mesure.
Il m'en restera quelques noms, quelques images, quelques informations, quelques impressions. Ces témoignages sur les agissements atroces des Japonais quand la Chine a été envahie. Cet immense cimetière américain dont les croix – ou étoiles – s'étendent à perte de vue. Cette carte touristique où presque les trois quarts des villes et villages sont labellisés "haut lieu de la Bataille de Normandie". Ces images d'archives présentées simultanément sur deux moitiés d'écran, d'un côté les Alliés qui se préparent à mourir en attaquant, de l'autre les Allemands qui se préparent à mourir en défendant leurs positions. Ce bunker sordide. Ce terrain ponctué de trous d'obus. Les restes d'un port artificiel bâti en toute hâte pour ravitailler les troupes. Et surtout ces plages, si paisibles aujourd'hui, ces plages où, hormis quelques drapeaux, parfois quelques monuments, rien ne permet de deviner qu'autrefois, des milliers d'hommes se sont entretués là au petit matin...
Il m'en restera quelques noms, quelques images, quelques informations, quelques impressions. Ces témoignages sur les agissements atroces des Japonais quand la Chine a été envahie. Cet immense cimetière américain dont les croix – ou étoiles – s'étendent à perte de vue. Cette carte touristique où presque les trois quarts des villes et villages sont labellisés "haut lieu de la Bataille de Normandie". Ces images d'archives présentées simultanément sur deux moitiés d'écran, d'un côté les Alliés qui se préparent à mourir en attaquant, de l'autre les Allemands qui se préparent à mourir en défendant leurs positions. Ce bunker sordide. Ce terrain ponctué de trous d'obus. Les restes d'un port artificiel bâti en toute hâte pour ravitailler les troupes. Et surtout ces plages, si paisibles aujourd'hui, ces plages où, hormis quelques drapeaux, parfois quelques monuments, rien ne permet de deviner qu'autrefois, des milliers d'hommes se sont entretués là au petit matin...
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