Hier soir, 23h40. Je n'ai pas encore atteint mon quota de pages, après une journée où Darling est parti à 8h20 pour rentrer à 20h40, une journée où, en plus de ma traduction, j'ai réglé quelques problèmes administratifs, fait une fiche de lecture, répondu longuement à deux emails, multiplié les allers-retours vers l'école et l’assistante maternelle, rangé toute la maison, lancé-séché-plié-rangé trois lessives, confectionné des cookies pour le goûter, préparé un dîner miraculeusement équilibré avec des fonds de placards, passé une commande de produits frais, donné trois douches, etc.
Je n'y arrive pas. J'ai beau essayer de me concentrer, manger du chocolat, me pincer les joues, mes yeux se ferment. Je n'atteindrai pas la page 157 aujourd'hui.
Je me lamente auprès de Darling, lui-même au bout du rouleau :
— Comment veux-tu que j'arrive à tout faire ? Les journées n'ont que 48 heures !
...
Du coup, avant de déclarer forfait et d'aller nous coucher, nous avons terminé la journée sur un éclat de rire. C'est déjà ça.
Ah ! Ah ! On aimerait bien.
RépondreSupprimerJ'ai vécu la même chose hier, question trad' (y'avait peut-être un truc avec la lune, les planètes.. On devrait pouvoir en tenir compte dans nos plannings ;-).
Pas fait mon quota de pages non plus. Ça me stressait un max, puis j'ai décidé que hein, bon, y'a pas que la traduction dans la vie...même si je vais le payer aujourd'hui et demain pour le rattrapage. D'ailleurs je file. Bon courage !