- Deux jumeaux dans la même classe, très mauvaise idée à mon avis (je souhaite bien du courage à la maîtresse) ;
- Deux nouvelles paires de chaussures pour le Grand, qui risquait de faire sa rentrée en sandales, taille 41 et 42 alors qu'il chaussait encore du 39 avant l'été ;
- Une sœur ado qui a traîné dans son lit en pyjama jusqu'à ce que je l'envoie prendre sa douche à coups de pieds dans le derrière à 16h (après quoi elle a continué à traîner dans son lit, mais habillée) ;
- Une fausse joie qui m'a passablement démoralisée, quand j'ai parcouru 15 km à vélo pour me précipiter au parc où avaient été retrouvées les lunettes de Mr Thing Two, perdues dans ce même parc dimanche, et quand j'ai découvert à l'arrivée que les lunettes retrouvées avaient certes une monture souple bleue, mais que c'étaient des lunettes de soleil qui devaient coûter maximum 7 euros, et non pas les seules lunettes de vue de mon fils bigleux, et accessoirement la seule paire remboursée annuellement par la mutuelle ;
- Un nombre de pages traduites aujourd'hui inférieur à ce que je réussissais à traduire quotidiennement pendant les vacances ;
- Une rentrée repoussée de vingt-quatre heures pour le Filou, qui aura l'honneur d'inaugurer sa vie scolaire demain matin ;
- Six livres à couvrir pour le Grand, et un grand ménage fait dans sa trousse de l'année dernière, pleine de stylos rongés, de crayons cassés, de compas démontés ("Non mais je le garde, il ne marche plus comme compas mais la mine de crayon fonctionne encore, donc je peux écrire avec") ;
- Un déjeuner sur le pouce composé de restes de pizzas de la veille...
Bref, une rentrée ordinaire.
Ayayaye les lunettes perdues ça c'est moche.
RépondreSupprimerRhô, c'est drôlement embêtant cette histoire de lunettes !
RépondreSupprimerPour le compas, j'ai souris car lundi après-midi (rentrée le lendemain matin, donc), j'étiquette le matériel de mon aîné de 9 ans et demi et je m'aperçois qu'il n'a pas de compas (demandé sur la liste des fournitures, donnée en juin). Je lui avais dit 3 semaines auparavant de cocher les choses qu'il n'avait pas, et le compas n'y figurait pas. L'échange qui suivit était surréaliste ! "Où il est, ton compas ?" "Ben je sais pas, normalement il était dans mon sac !" "Oui ben il n'y est pas, alors tu l'as mis où ?" "Je sais plus. De toute façon il était à moitié cassé donc il vaudrait mieux m'en racheter un neuf." "Bon, et il te manque un fluo,aussi, c'était marqué 3 surligneurs et tu n 'en as que 2." "Ah bah oui, tiens. Il me faudrait un jaune." Quant au stylo-bille bleu qu'il était censé déjà avoir, dans sa trousse, il était réduit au bâtonnet tout fin qui contient l'encre - pas facile à manier, surtout quand on a des difficultés graphiques comme c'est son cas !
Heureusement que j'allais en ville en fin de journée pour le rdv orthophoniste de son petit frère. Pour une fois que j'avais fait attention à m'y prendre un peu à l'avance, il a fallu acheter des trucs de dernière minute...
Ecrire avec le réservoir d'encre du stylo-bille! J'avais complètement oublié cette pratique qui me ramène 30 ans en arrière (mais moi je ne le faisais pas, je prenais soin de mes affaires).
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