Presque huit heures d'affilée sans les enfants, en tête-à-tête avec ma mère ;
Une longue traversée de Paris, et quelques vues magnifiques ;
Un centre commercial ultra-chic, plus que je ne l'aurais imaginé possible ;
Une moisson ultra-riche, avec sept pantalons, une demi-douzaine de tops, et deux paires de chaussures (il était vraiment temps, j'étais partie le matin avec un T-shirt informe, un pantalon déchiré et des chaussures trouées : ma meilleure tenue disponible) ;
A l'heure du déjeuner, un excellent cheeseburger (avec viande d'Aubrac, Saint-Nectaire fermier et pain frais, cela devient de la haute gastronomie) ;
A l'heure du goûter, un jus de carottes exquis (j'adore ça quand il vient d'être fait, mais ma centrifugeuse dort dans un carton depuis mon déménagement) ;
Des rires, des bavardages, et aucune crise de larmes ou d'angoisse dans les cabines d'essayage...
Rarement journée shopping aura été à la fois aussi agréable et aussi productive. Preuve que, comme le clament sans cesse les traducteurs, le plus important, c'est le contexte !
(PS: Merci à Ficelle, jusqu'ici la seule personne avec qui j'étais capable d'acheter des vêtements en m'amusant, de m'avoir fait connaître la marque Uniqlo. Ma mère lui en est également reconnaissante !)
La vie d'une traductrice, mère célibataire de famille nombreuse
jeudi 28 août 2014
mardi 26 août 2014
Propreté diurne et nocturne
Trois ou quatre jours après être arrivée en vacances, donc vers la mi-juillet, j'ai annoncé très sérieusement à mon petit bonhomme que dans ce village, les couches étaient très difficiles à trouver, et que par conséquent, il allait désormais devoir s'en passer. A deux ans et quatre mois, ça ne me semblait pas déraisonnable.
Je savais à quoi je m'exposais. Je suis déjà passée par là, et la dernière fois est encore fraîche dans ma mémoire. Pendant quelques jours, j'ai changé, lavé, changé, lavé, changé, lavé des slips et des shorts, à n'en plus finir. J'ai aussi applaudi, admiré, félicité. Grondé aussi, un peu, parfois, quand un accident suivait un "— Viens faire pipi ! — Non, pas pipi !" moins de cinq minutes plus tard. Je me suis aussi trimballée partout avec un pot. J'y ai fait asseoir le môme devant un DVD, dans le jardin, sur le bord de la route, dans le coffre de la voiture, au milieu d'un parking, dans un restaurant, ou en plein centre-ville.
Un mois et demi plus tard, les progrès sont évidents. Il y a encore des fuites, mais bien moins souvent. Certes, je dois admettre qu'il ne réclame pas encore son pot lui-même ; mais il se retient, et si on n'oublie pas de l'y envoyer régulièrement, il ne vide plus sa vessie qu'en lieu autorisé. Et la bonne surprise, c'est que dès la fin du mois de juillet, la couche a été sèche après la sieste, et même après la nuit. A tel point que j'ai cessé de lui en mettre sous son pyjama.
Mais il y a un hic.
La grosse commission.
En un mois et demi, le pot n'a eu de contenu solide que trois fois. Oui, une fois toutes les deux semaines en moyenne.
Et le reste du temps, alors ?
Je vous laisse deviner.
J'ai tout essayé. Félicitations, explications, supplications, râleries, menaces, tape sur les fesses, et même douche froide quand la douche s'avère indispensable. J'ai aussi pris l'habitude de le surveiller de très près quand cela fait presque 24 h qu'il n'a pas déféqué. Peine perdue, car il se cache. Il se planque dans un recoin ou derrière un meuble, pour en émerger peu après, tenant son t-shirt à deux mains (de peur de le salir, sans doute – crainte qu'il n'éprouve guère pour le bas de sa tenue, visiblement), annonçant sans aucune honte : "Caca !"
Il paraît que c'est assez courant, chez les garçons, de ne pas vouloir faire la grosse commission sur le pot. Pas chez les filles : les psys vous parleront d'angoisse de castration et autre explications compliquées auxquelles on n'est pas obligé de croire, mais les instits confirmeront que quelle que soit la raison, cela ne touche guère les demoiselles. A ma petite échelle de mère de famille nombreuse, je me rappelle que le Grand a eu du mal à s'y faire et a même traversé une période de constipation intense car il ne voulait plus faire ses gros besoins du tout, même dans sa couche ; que son meilleur ami de petite section demandait à ce qu'on lui mette une couche juste pour ça ; que Mr Thing Two m'a fait racler des dizaines de slips ; que le Filou a déjà battu le record de son aîné... et que Miss Thing One, elle, a été "propre" très vite, en tous cas pour les choses sérieuses.
Bref, en attendant que ça passe, je ne peux faire que pester et jurer et grogner, et mettre une couche-culotte en prévention, après les repas, quand je devine que ça pourrait venir. L'enfant garde ensuite sa couche sans la souiller jusqu'à ce que ça vienne, ou à défaut, jusqu'au soir. Comme cela fait bien longtemps qu'il ne va plus à la selle dans son lit, je lui ôte sa couche quand il va dormir.
Nous en sommes donc actuellement à cette situation paradoxale : le Filou ne porte plus de couche la nuit, ni à la sieste, mais il en porte encore pendant une partie de la journée.
Les gamins, c'est un vrai bonheur. On a beau croire qu'on a tout vu, ils arrivent toujours à vous surprendre.
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Sur un parking. |
Un mois et demi plus tard, les progrès sont évidents. Il y a encore des fuites, mais bien moins souvent. Certes, je dois admettre qu'il ne réclame pas encore son pot lui-même ; mais il se retient, et si on n'oublie pas de l'y envoyer régulièrement, il ne vide plus sa vessie qu'en lieu autorisé. Et la bonne surprise, c'est que dès la fin du mois de juillet, la couche a été sèche après la sieste, et même après la nuit. A tel point que j'ai cessé de lui en mettre sous son pyjama.
Mais il y a un hic.
La grosse commission.
En un mois et demi, le pot n'a eu de contenu solide que trois fois. Oui, une fois toutes les deux semaines en moyenne.
Et le reste du temps, alors ?
Je vous laisse deviner.
J'ai tout essayé. Félicitations, explications, supplications, râleries, menaces, tape sur les fesses, et même douche froide quand la douche s'avère indispensable. J'ai aussi pris l'habitude de le surveiller de très près quand cela fait presque 24 h qu'il n'a pas déféqué. Peine perdue, car il se cache. Il se planque dans un recoin ou derrière un meuble, pour en émerger peu après, tenant son t-shirt à deux mains (de peur de le salir, sans doute – crainte qu'il n'éprouve guère pour le bas de sa tenue, visiblement), annonçant sans aucune honte : "Caca !"
Il paraît que c'est assez courant, chez les garçons, de ne pas vouloir faire la grosse commission sur le pot. Pas chez les filles : les psys vous parleront d'angoisse de castration et autre explications compliquées auxquelles on n'est pas obligé de croire, mais les instits confirmeront que quelle que soit la raison, cela ne touche guère les demoiselles. A ma petite échelle de mère de famille nombreuse, je me rappelle que le Grand a eu du mal à s'y faire et a même traversé une période de constipation intense car il ne voulait plus faire ses gros besoins du tout, même dans sa couche ; que son meilleur ami de petite section demandait à ce qu'on lui mette une couche juste pour ça ; que Mr Thing Two m'a fait racler des dizaines de slips ; que le Filou a déjà battu le record de son aîné... et que Miss Thing One, elle, a été "propre" très vite, en tous cas pour les choses sérieuses.
Bref, en attendant que ça passe, je ne peux faire que pester et jurer et grogner, et mettre une couche-culotte en prévention, après les repas, quand je devine que ça pourrait venir. L'enfant garde ensuite sa couche sans la souiller jusqu'à ce que ça vienne, ou à défaut, jusqu'au soir. Comme cela fait bien longtemps qu'il ne va plus à la selle dans son lit, je lui ôte sa couche quand il va dormir.
Nous en sommes donc actuellement à cette situation paradoxale : le Filou ne porte plus de couche la nuit, ni à la sieste, mais il en porte encore pendant une partie de la journée.
Les gamins, c'est un vrai bonheur. On a beau croire qu'on a tout vu, ils arrivent toujours à vous surprendre.
dimanche 24 août 2014
Exposition Star Wars
Profitant de ces derniers jours de vacances, le Grand, ma plus jeune sœur et moi avons visité une exposition intitulée Star Wars : identities. En plus d'un certain nombre de maquettes, costumes, et éléments de décor, il y avait plusieurs mini-documentaires qui expliquaient comment une identité se construit : les poids respectifs de la génétique, l'environnement, l'éducation, les mentors, les amis, les événements traumatisants, etc. Et à chaque étape, il fallait répondre à des questions pour construire son propre personnage. Voici le mien :
Ça fait plaisir de savoir ce que j'aurais pu être, dans un autre univers...
J’ai grandi sur la planète ville Coruscant, où les membres de ma communauté gagnaient leur vie en concevant et en construisant des gratte-ciel. Durant les congés, mes deux meilleurs amis et moi avions l’habitude d’aller voir un spectacle à l’Opéra des Galaxies.
Mes parents exigeaient de moi beaucoup de discipline tout en m’offrant leur soutien, au besoin, et ils m’ont transmis de leurs habiletés naturelles. Plus tard dans la vie, j’ai rencontré la grande leader Padmé Amidala, dont les enseignements m’ont enrichie de connaissances qui me sont utiles au quotidien dans mes fonctions de musicienne.
On dit souvent de moi que je suis une personne généralement aventureuse et curieuse, j’ai aussi tendance à être énergique et sociable. Mais la chose la plus importante pour moi est la bienveillance : après tout, vouloir le bien des autres, c’est s’aider soi même.
Je suis peu sensible à la Force, mais l’Empereur a reconnu mon potentiel. Lorsqu’il m’a offert un pouvoir illimité en échange de mon allégeance, j’ai résisté à la tentation de me joindre à lui et à ses sbires et j’ai rejeté son offre.
Ça fait plaisir de savoir ce que j'aurais pu être, dans un autre univers...
jeudi 21 août 2014
Retour de vacances
Alors,
- J'ai lâché mes derniers invités dans la nature, sans GPS ni téléphone portable ni carte de la région, en leur conseillant vaguement d'aller dans la direction de l'autoroute qui "sera sûrement indiquée sur les panneaux" (c'était hier matin, et je n'ai pas eu de leurs nouvelles depuis) (j'essaie de me convaincre que ça s'explique par l'absence de portable) ;
- J'ai rangé toute la maison, ce qui m'a permis de confirmer que j'ai bel et bien perdu mes lunettes de soleil très chères achetées juste avant l'été (la première paire de marque de ma vie, de très bonne qualité, parce que "maintenant je suis grande, je ne perds plus mes affaires") ;
- J'ai laissé la maison de vacances dans un état épouvantable, avec un mot gentil à la jeune femme qui doit venir faire le ménage après mon départ, mais dans la folie du départ, j'ai oublié de lui laisser de l'argent (depuis, j'essaie de me convaincre que c'est mieux que l'inverse) (ou pas)
- J'ai récupéré Darling à la grande ville la plus proche ; il a donc fait six heures de train dans un sens et quatre heures de voiture dans l'autre en une seule journée, pour ne pas me laisser seule dans la voiture avec mes trois bambins (après, je me suis dit que j'aurais pu m'inscrire sur un site de co-voiturage) (j'aurais mieux fait d'y penser plus tôt) ;
- Après la première journée de voyage, nous avons débarqué à cinq chez une amie qui avait fait l'effort de sortir des chaises supplémentaires de son garage (à l'aller, les gamins avaient dû s'asseoir par terre, donc je lui ai demandé avec le grand tact qui me caractérise si elle voulait que je lui rapport des sièges, et il faut croire qu'elle a compris mon message subtil) (si, si, c'était indispensable : les mômes sont restés assis au moins trois minutes avant de se lever de table) ;
- Nous avons dormi à l'hôtel, et j'ai passé mon temps à dire à mes gamins de faire moins de bruit parce que "les gens dorment", avant de réaliser que ma voiture était la seule dans tout le parking (du coup, nous étions tranquilles dans la salle du petit déjeuner ce matin, et j'ai pu remplir ma thermos de thé et chiper des croissants en toute impunité) ;
- Nous avons pique-niqué ce midi dans une aire boisée, en bénissant mon amie qui nous avait donné du pain et des biscuits "au cas où" alors que nous lui soutenions que nous déjeunerions au restaurant, et en remerciant chaudement ce voyageur qui nous a prêté un couteau pour découper le saucisson (j'ai au moins quatre ou cinq canifs et opinels, mais tous dans un carton marqué "matériel de randonnée") ;
- Et enfin, nous sommes arrivés à la maison à l'heure du thé, nous réjouissant de retrouver le Grand, le Kitchenaid, les vélos, les légos, Internet, un jardin clos, et du vrai pain aux céréales (pas forcément dans cet ordre exact).
Mon séjour outre-Alpes est terminé, et même si j'ai passé de vraies bonnes vacances, je ne suis pas fâchée d'être rentrée. Des nouvelles fraîches dès que j'aurai eu le temps de me poser !
- J'ai lâché mes derniers invités dans la nature, sans GPS ni téléphone portable ni carte de la région, en leur conseillant vaguement d'aller dans la direction de l'autoroute qui "sera sûrement indiquée sur les panneaux" (c'était hier matin, et je n'ai pas eu de leurs nouvelles depuis) (j'essaie de me convaincre que ça s'explique par l'absence de portable) ;
- J'ai rangé toute la maison, ce qui m'a permis de confirmer que j'ai bel et bien perdu mes lunettes de soleil très chères achetées juste avant l'été (la première paire de marque de ma vie, de très bonne qualité, parce que "maintenant je suis grande, je ne perds plus mes affaires") ;
- J'ai laissé la maison de vacances dans un état épouvantable, avec un mot gentil à la jeune femme qui doit venir faire le ménage après mon départ, mais dans la folie du départ, j'ai oublié de lui laisser de l'argent (depuis, j'essaie de me convaincre que c'est mieux que l'inverse) (ou pas)
- J'ai récupéré Darling à la grande ville la plus proche ; il a donc fait six heures de train dans un sens et quatre heures de voiture dans l'autre en une seule journée, pour ne pas me laisser seule dans la voiture avec mes trois bambins (après, je me suis dit que j'aurais pu m'inscrire sur un site de co-voiturage) (j'aurais mieux fait d'y penser plus tôt) ;
- Après la première journée de voyage, nous avons débarqué à cinq chez une amie qui avait fait l'effort de sortir des chaises supplémentaires de son garage (à l'aller, les gamins avaient dû s'asseoir par terre, donc je lui ai demandé avec le grand tact qui me caractérise si elle voulait que je lui rapport des sièges, et il faut croire qu'elle a compris mon message subtil) (si, si, c'était indispensable : les mômes sont restés assis au moins trois minutes avant de se lever de table) ;
- Nous avons dormi à l'hôtel, et j'ai passé mon temps à dire à mes gamins de faire moins de bruit parce que "les gens dorment", avant de réaliser que ma voiture était la seule dans tout le parking (du coup, nous étions tranquilles dans la salle du petit déjeuner ce matin, et j'ai pu remplir ma thermos de thé et chiper des croissants en toute impunité) ;
- Nous avons pique-niqué ce midi dans une aire boisée, en bénissant mon amie qui nous avait donné du pain et des biscuits "au cas où" alors que nous lui soutenions que nous déjeunerions au restaurant, et en remerciant chaudement ce voyageur qui nous a prêté un couteau pour découper le saucisson (j'ai au moins quatre ou cinq canifs et opinels, mais tous dans un carton marqué "matériel de randonnée") ;
- Et enfin, nous sommes arrivés à la maison à l'heure du thé, nous réjouissant de retrouver le Grand, le Kitchenaid, les vélos, les légos, Internet, un jardin clos, et du vrai pain aux céréales (pas forcément dans cet ordre exact).
Mon séjour outre-Alpes est terminé, et même si j'ai passé de vraies bonnes vacances, je ne suis pas fâchée d'être rentrée. Des nouvelles fraîches dès que j'aurai eu le temps de me poser !
mardi 19 août 2014
Du caviard aux clebards
Une belle promenade. Des glaces artisanales, aux parfums originaux, délicieuses. Et juste devant la vitrine, un client qui fait ça.
Il y a des baffes qui se perdent.
Il y a des baffes qui se perdent.
Dîner paradoxal
Un dîner ordinaire avec sept enfants, dont cinq entre deux et quatre ans. Les plus petits refusent de manger les légumes, les deux filles chahutent, Mr Thing Two renverse son verre comme tous les soirs, il faut couper la viande, servir de l'eau, gronder, ramasser une fourchette, etc. Les trois adultes, échevelés, n'arrivent presque pas à manger. Soudain, le garçon de 11 ans réclame la parole :
- Oui ? lui demande sa mère avec lassitude. Que veux-tu ?
- Rien, répond-il, ignorant totalement le chaos épouvantable. J'avais juste envie d'exposer un paradoxe.
Du coup, en plus du reste, il a fallu attendre que mon fou-rire se calme.
(Quand je vous disais que c'était une famille d'intellos !)
- Oui ? lui demande sa mère avec lassitude. Que veux-tu ?
- Rien, répond-il, ignorant totalement le chaos épouvantable. J'avais juste envie d'exposer un paradoxe.
Du coup, en plus du reste, il a fallu attendre que mon fou-rire se calme.
(Quand je vous disais que c'était une famille d'intellos !)
dimanche 17 août 2014
Que de lait, que de lait...
Quand cette famille de quatre enfants est arrivée il y a six jours, les parents m'ont demandé :
- Tu as assez de lait ? Nous n'en avons pas apporté.
Je venais d'en racheter. Après avoir compté ce qu'il me restait, j'ai répondu :
- Vingt-neuf litres, ça devrait suffire, non ?
Nous avons ri, et nous ne nous en sommes plus inquiété. Quelques biberons, chocolats chauds, crèmes dessert, béchamels et smoothies lactés plus loin, il faut nous rendre à l'évidence : il ne reste plus que deux litres, à peine assez pour le petit déjeuner de demain matin.
Petit exercice de vacances : combien de litres dois-je en racheter pour tenir jusqu'à notre départ, mercredi matin ?
- Tu as assez de lait ? Nous n'en avons pas apporté.
Je venais d'en racheter. Après avoir compté ce qu'il me restait, j'ai répondu :
- Vingt-neuf litres, ça devrait suffire, non ?
Nous avons ri, et nous ne nous en sommes plus inquiété. Quelques biberons, chocolats chauds, crèmes dessert, béchamels et smoothies lactés plus loin, il faut nous rendre à l'évidence : il ne reste plus que deux litres, à peine assez pour le petit déjeuner de demain matin.
Petit exercice de vacances : combien de litres dois-je en racheter pour tenir jusqu'à notre départ, mercredi matin ?
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