lundi 14 novembre 2016

Boulot, dodo, boulot, dodo, sans le métro

Je bosse, je bosse, je bosse. Je crois que je n'ai pas dû souvent travailler autant pendant un weekend de trois jours que je l'ai fait les 11, 12 et 13 novembre. Dommage pour les gamins, qui n'ont pas eu droit à la moindre sortie, sauf dans le jardin où ils ont balancé la moitié des buches par-dessus le mur dans la benne du chantier d'à côté, mangé le raisin à moitié pourri que j'avais oublié de cueillir (oui, il y a une vigne dans mon jardin, elle était déjà là quand nous sommes arrivés), couru derrière le chat en poussant des cris d'Indiens, le tout avant de se rouler par terre dans l'herbe boueuse. M'en fiche, pendant ce temps-là, j'ai pu traduire quelques pages de plus. Je me suis couchée trois fois de suite entre minuit et demie et une heure et demie du matin, je me suis levée à 7h30 pour recommencer à travailler dimanche matin, mais j'ai réussi à terminer ce que j'avais prévu de faire.
Plus qu'à continuer comme ça jusqu'à fin novembre.
Courage.

Bien sûr, c'est justement aujourd'hui que l'instit du Filou m'a dit "Vous pouvez nous accompagner à la bibliothèque, demain ? Vous m'aviez dit que je pouvais vous demander occasionnellement, si je ne trouvais personne d'autre..."
Quand ai-je jamais su répondre non à une question de ce genre ? Comment pouvais-je priver 30 gamins de leur sortie à la bibliothèque ? J'ai dit oui. Je me coucherai à 2h du matin la nuit prochaine, voilà tout.

Voilà, c'était donc un billet pour dire que je n'ai rien à dire et que je n'ai pas le temps de le dire. Mais ce n'est pas une raison pour se taire, si ?

1 commentaire:

  1. Oh là là, courage Fofo !! J'espère que tu pourras souffler un peu, après.

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