jeudi 17 juillet 2014

Mes vacances en quelques chiffres

32 degrés à l'ombre, aujourd'hui.
12 repas pris à l'extérieur, sur la terrasse, sur un total de 12 depuis notre arrivée. (Oui, ça fait 4 repas par jour. Pourquoi ?)
3 très mauvaises nuits avant de comprendre. 3 doses de vermifuge données aux 3 petits qui n'arrivaient plus à dormir.
17 piqûres de moustique sur Mr Thing Two. A peine moins sur les autres.
11 lessives depuis le premier jour : la machine est petite, et il y avait encore tous les draps, serviettes etc. de notre dernier séjour.
360 euros dépensés en surgelés. Je sais bien que j'ai fait des provisions abondantes, mais je n'en reviens toujours pas moi-même.
35 euros de dette chez le boucher, 24 chez l'épicier. Je ne m'habitue pas à ce pays où tant de magasin n'acceptent toujours pas les cartes, ni les chèques, et où on est censé se promener en permanence avec quelques centaines d'euros sur soi pour peu que le distributeur soit un peu loin.
3 voyages à la déchetterie en perspective, au moins, pour aller jeter tous les détritus que les locataires précédents ont laissé en partant. Comme si je n'avais que ça à faire.
500 pages lues en deux soirées. Un roman que je lis dans être payée pour le faire. J'étais encore plus affamée de lecture "plaisir" que je ne le croyais. Tant pis si ça a encore raccourci les nuits déjà mauvaises.
3 enfants de moins de 5 ans dans la même chambre, pour que le Grand ait un espace vital à lui dans la chambre autrefois attribuée au Filou, et une bonne surprise : ça ne marche pas trop mal.
5 euros pour se connecter à Internet, même juste trois minutes, ce qui explique pourquoi je ne le fais pas si souvent.
1 email professionnel qui m'attendait quand j'ai décidé de me connecter aujourd'hui, et qui m'a fait bien plaisir (je crois que j'aime mon métier, vraiment).
13 minutes encore avant que l'horodateur signale aux flics que je dois bouger ma voiture. Il est temps de sortir de ce café qui offre une providentielle connexion wi-fi. (Juste le temps de programmer un billet pour demain, peut-être ?)
Allez, c'est reparti pour la "vraie vie" !


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