dimanche 1 septembre 2019

Résumé des vacances et cartes postales

Alors, il est temps de mettre fin au terrible suspense : OUI, les enfants sont revenus de colonie, et oui, tout s'est bien passé. Sauf qu'ils n'ont "pas trouvé" le papier à lettre et les enveloppes et les timbres, ce qui explique pourquoi ils ne m'ont pas écrit. Et sauf que la seule et unique lessive a été faite la veille du départ, ce qui explique les vêtements empruntés aux copains (note pour la prochaine fois : leur donner au minimum autant de slips et t-shirts qu'il y a de jours de colonie). Et sauf que j'ai retrouvé dans le sac à dos de Miss Thing One le sandwich que j'avais préparé pour le voyage aller. Un sandwich au jambon laissé bien au chaud pendant quinze jours, oui oui.
Mais bref, la colonie, c'est génial, et l'année prochaine, on y retourne.
(On croise les doigts)

A part ça, pas de mauvaises surprises pendant le reste des vacances. Des moustiques et un soleil de plomb en Italie (d'où un départ précipité dès le quatrième jour), de très belles vacances dans les Alpes avec une grande randonnée et deux nuits en refuge au pied d'un glacier, et un passage dans le Sud-Ouest par une maison de famille qui va bientôt être vendue, et d'où nous avons rapporté une vieille statue d’Eve totalement anachronique sur mes étagères Lundia, deux sacs remplis à ras-bord de biscuits achetés à la biscuiterie locale, et surtout environ 40 kilos de bouquins (je n'exagère pas, il y avait entre autres une vieille encyclopédie en six volumes énormes qui m'a fait de l’œil, et une Histoire de France en QUINZE volumes – grand format, bien sûr – que le Grand a absolument voulu emporter).

Et maintenant, les cartables sont prêts, les affaires étiquetées, ma nouvelle traduction ouverte à la première page sur mon bureau, le réveil réglé, l'agenda tout neuf déjà bien rempli... c'est parti pour cette nouvelle année !

L'Atlas de gauche mesure 55 cm de haut.

Quasiment plus un brin d'herbe, à cette altitude. Impressionnant.

Un paysage nettement plus riant au pied des Pyrénées.
Pendant les randos, le Grand racontait la guerre de Cent Ans ou les Croisades
aux autres pour qu'ils oublient de râler...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire