samedi 29 septembre 2012

Sevrage (suite et fin)

Je ne suis pas du tout convaincue par les avantages de l'allaitement, souvenez-vous.
Six mois me suffisent amplement, je vous l'ai déjà dit.
Je suis ravie de voir mes enfants grandir car je n'aime pas les bébés, je le répète.

Alors pourquoi ai-je ressenti un tel pincement au coeur en donnant ce matin ce qui devrait être la toute dernière tétée au Petit ?



Sans doute l'idée que je ne pourrai désormais plus me goinfrer de sucreries sous prétexte que "c'est normal que j'aie faim, j'allaite". Oui, ce doit être ça.


(Oui, ceci est billet de fainéante, bourré de liens. Je sais. Mais je vous rappelle qu'on est samedi matin et que je suis seule avec les quatre diables...)

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